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Le chef de l’État intérimaire Abdelkader Bensalah a procédé ces derniers jours à un nombre inédit de limogeages de hauts responsables considérés comme un encombrant héritage du règne du président sortant Abdelaziz Bouteflika, tandis que la justice s’est saisie de plusieurs affaires de corruption. Une opération « mains propres » qui peine à convaincre.
Lundi matin 29 avril, une foule nombreuse scandant des slogans anticorruption est venue manifester devant le tribunal de Tipaza. C’est devant le juge d’instruction de cette ville côtière située à quelque 70 kilomètres à l’ouest de la capitale que devait comparaître l’ancien Directeur général de la sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, dans le cadre d’une enquête en cours sur des activités illégales, trafic d’influence et dilapidation de foncier.
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