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Jamais la Planète Terre n’a autant été menacée qu’actuellement. Outre la pandémie de Covid-19 qui a plongé le monde dans l’angoisse, la peur et l’incertitude… laissant dans son sillage des millions de morts, il y a la croissance grandissante démographique, résultant à la surpopulation ; des déséquilibres économiques, les effets néfastes du Changement Climatique, entre autres.
Qui avait prédit que la 3e Guerre allait être sans armes, mais un virus mortel. Un virus invisible, imprévisible, redoutable qui a pour nom le Coronavirus (Covid-19). Le créateur de ce virus a sans nul doute un plan bien calculé. Il savait pertinemment bien, où et quand commencer la propagation et pourquoi pas l’échéance fixée pour l’éradiquer.
Alors que 5,4 millions de morts et 282, 5 millions de cas de contaminations sont recensés dans le monde, ici à Maurice, 762 morts et 23 372 cas de contaminations ont été enregistrés au 30 décembre 2021.
S’agissant de l’origine de la Covid-19, “l’hypothèse d’un accident de laboratoire a été relancée par des chercheurs. Dans une lettre ouverte, des scientifiques de renom appellent à poursuivre les investigations sur l’origine de la pandémie de Covid-19, rappelant que l’hypothèse d’un accident de laboratoire n’a rien d’une théorie complotiste”, écrit LCI le 14 mai 2021.
Si la pandémie s’est révélée au monde en décembre 2019 sur le marché Huanan de Wuhan, où étaient vendus des animaux sauvages vivants, l’origine du nouveau coronavirus ne s’y situe pas nécessairement pour autant.
Parallèlement à la Covid-19, la population mondiale ne cesse de croître. Selon les dernières projections de l’ONU, la population mondiale comptera 9,7 milliards d’habitants en 2050 et 11 milliards d’ici à la fin du siècle. Toutefois, mention est faite des écarts considérables entre les prévisions.
Une étude de l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) de l’université de Washington estimait ainsi, en 2020, que le plateau ne dépasserait pas les 8,8 milliards en 2100, soit une différence de plus de deux milliards. Un autre organisme, l’Institut international d’analyse des systèmes appliqués (IIASA) à Vienne mise, lui, sur un pic peu plus de 9,7 milliards vers 2070.
Dans ce contexte, des questions se posent. À travers la Covid-19, les instigateurs voudraient-ils réduire la population mondiale ? Une manière de contrôler et d’assurer la survie de la Planète Terre. Personne n’est en mesure de nous le dire actuellement.
Alors que la planète sort peu à peu de près deux ans d’une crise sanitaire sans précédent, sur une note d’optimisme, il y a deux livres, intitulés, Géopolitique et géoéconomie du monde contemporain et Ramses 2022. Au-delà de la Covid qui viennent d’être publiés évoquant un monde post-Covid. Ils sont considérés comme étant “deux ouvrages collectifs pour mieux saisir les défis d’une réalité internationale toujours plus incertaine après la pandémie et marquée par le retour des rivalités de puissance.”
Si Ramses 2022. Au-delà de la Covid est qualifié de “prospectif”, il est souligné que Géopolitique et géoéconomie du monde contemporain vise à “déchiffrer la grammaire de la puissance et des conflits, permettent de mieux comprendre les réalités d’un monde déboussolé et les défis qu’il impose.”
En conséquence de la Covid-19, l’économie mondiale est à genou, provoquant des fermetures d’entreprises, des vagues de licenciements, des fractures sociales…La situation est pire que la crise économique internationale de 2007-2008. De ce fait, la question se pose : faut-il redouter une aggravation des déséquilibres de l’économie mondiale post-Covid ?
Des spécialistes, à l’instar de Valérie Mignon, Professeure en économie et Blaise Gnimassoun, Maître de conférences en sciences économiques, donnent certains éclairages. Il est souligné que “l’intensification de la globalisation des économies et de l’intégration des marchés financiers au niveau international ont favorisé l’émergence, l’accroissement et la persistance des déséquilibres de l’économie mondiale. Lorsqu’ils sont durablement excessifs, c’est-à-dire déconnectés des fondamentaux économiques censés guider leur évolution, ces déséquilibres deviennent une menace pour l’économie mondiale et sa stabilité, notamment au niveau financier.”
Qu’en est-il des effets Covid ? En 2019, les déséquilibres de l’économie mondiale représentaient 2,8 % du PIB mondial, soit le plus bas niveau observé depuis les 20 dernières années. La correction entamée depuis la crise financière de 2007-2008 y a fortement contribué.
Cependant, ces déséquilibres pourraient à nouveau s’emballer sous l’impulsion de plusieurs facteurs : les déficits budgétaires considérables occasionnés par les dépenses publiques en réponse à la crise de la Covid-19 et ses conséquences, la reprise du commerce international et le rebond de l’activité économique mondiale.
Selon les données du FMI, les déséquilibres globaux devraient rester contenus malgré une dynamique haussière depuis 2019. Ils devraient ainsi représenter, en 2020, 3,15 % et, en 2021, 3,26 % du PIB mondial, avant qu’une nouvelle baisse ne s’installe à partir de l’année 2022.
Ces déséquilibres peuvent-ils être contenus ? Il est soutenu que si la crise financière de 2007-2008 avait réduit l’ampleur du déficit courant américain, la crise liée à la pandémie de Covid-19 l’a accentuée depuis 2020. L’inversion de cette tendance pourrait impliquer une baisse du dollar ; une dépréciation de la devise américaine permettant en effet aux États-Unis de dégager des excédents et de rembourser leur dette extérieure.
Le Changement Climatique constitue un important enjeu pour la Planète Terre, plus particulièrement les Petits Etats Insulaires (PEID), dont Maurice y fait partie. Depuis le 1er Sommet de la Terre à Rio en 1992, les gouvernements ont pris conscience d’importants enjeux liés au Changement Climatique : diminution de la couche d’Ozone, déforestation, montée des eaux, cyclones plus puissants…
A chaque sommet, les plus grands pollueurs du monde : Etats-Unis, Chine, Inde pour ne citer que ceux-là se montrent réticents ou refusent catégoriquement de prendre des engagements par rapport à la signature et respect de certaines conventions : Protocole de Kyoto, Protocole de Paris… cela en vue de réduire les émissions de gaz à effet de serre en utilisant davantage des énergies renouvelables
Le COP 26 s’est terminé dans un compromis, le 13 novembre dernier 2021. Après avoir prolongé d’un jour supplémentaire les négociations sur le climat de la COP26, près de 200 pays réunis à Glasgow, en Écosse, ont adopté un document final qui, selon le Secrétaire général de l’ONU, reflète les intérêts, les contradictions et l’état de la volonté politique dans le monde aujourd’hui.
Il est un fait que le monde continuera à vivre dans les incertitudes, les déséquilibres… pour longtemps encore.
Géopolitique : la Planète Terre sous la menace des enjeux
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