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Trop critique envers le pouvoir de Muhammadu Buhari, l’émir Muhammadu Sanusi II, puissante figure traditionnelle, risque de perdre son trône.
Chaque année, l’on vient de loin pour vivre le Durbar à Kano. Trois jours durant, à la fin du ramadan, la foule se masse dans les rues de la grande cité du nord du Nigeria afin d’admirer la parade de l’émir. En tenue d’apparat, entouré de cavaliers richement vêtus, Son Altesse réaffirme ainsi le pouvoir qu’il tient de ses ancêtres.
Cette année, pourtant, il n’y a pas eu de fête. Officiellement, le gouverneur a pris cette décision pour des raisons de sécurité, alors que plane la menace d’attaques de Boko Haram. Mais, pour beaucoup, cette annulation éminemment politique résulte d’une rivalité digne d’un épisode de Game of Thrones : pas question pour Abdullahi Umar Ganduje, gouverneur de l’État de Kano et proche de Muhammadu Buhari, d’offrir une nouvelle occasion de briller à l’émir Muhammadu Sanusi II, puissante figure traditionnelle et deuxième leader musulman du pays.
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