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Si le président de la Commission électorale guinéenne assure que le scrutin législatif se tiendra bien le 28 décembre prochain, des retards accumulés dans le chronogramme que s’était fixé l’institution font craindre à certains, au sein de l’exécutif, un possible report.
Début septembre, le président guinéen avait enjoint « tous les acteurs impliqués dans l’organisation des élections législatives à redoubler d’effort et d’ardeur », Alpha Condé leur fixant pour objectif « que ces élections se tiennent dans le courant de cette année ». Deux semaines plus tard, le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Salif Kebé, fixait la date au 28 décembre prochain.
Ce calendrier est-il tenable ? Si le président de la Ceni assure que oui, des doutes émergent jusqu’au sein de l’exécutif guinéen. Les retards accumulés dans le chronogramme que s’était fixé l’institution, tant sur le plan matériel que sur l’enrôlement des électeurs, font même craindre un possible report.
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