la crise de trop pour l’Algérie – Jeune Afrique

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People wearing masks and plastic gloves take part to the pro-democracy demonstration, Friday March 13, 2020 in Algiers. For most people, the new coronavirus causes only mild or moderate symptoms. For some it can cause more severe illness.//PPAGENCY_1120.2212/2003131805/Credit:Fateh Guidoum/PPAgency/SIPA/2003131807

People wearing masks and plastic gloves take part to the pro-democracy demonstration, Friday March 13, 2020 in Algiers. For most people, the new coronavirus causes only mild or moderate symptoms. For some it can cause more severe illness.//PPAGENCY_1120.2212/2003131805/Credit:Fateh Guidoum/PPAgency/SIPA/2003131807 © Fateh Guidoum/PPAgency/SIPA

À l’effondrement des cours du pétrole et à la pandémie de coronavirus vient s’ajouter un inquiétant épisode de sécheresse. Déjà tangibles, les répercussions sur l’économie nationale s’annoncent désastreuses.


C’est ce qu’on pourrait appeler un mauvais alignement des planètes. Chute vertigineuse des cours du pétrole, épidémie de coronavirus et sécheresse, l’Algérie est frappée de plein fouet par une situation aussi inédite que critique. Premières retombées de la dégringolade des cours des hydrocarbures, qui assurent 95 % de ses recettes en devises et 60 % de sa fiscalité pétrolière ?

Les recettes devraient atteindre 20 à 30 milliards de dollars pour 2020, contre 42 milliards en 2018 et 36 milliards en 2019. Logique, dans la mesure où le budget 2020 a été calculé sur la base d’un baril à 50 dollars. Dans l’hypothèse d’un prix stagnant durablement autour de 20 dollars, le déficit budgétaire pourrait doubler, passant de 12,8 milliards (montant calculé sur un baril à 50 dollars) à 25 milliards. Il va donc falloir en passer par une loi de finances complémentaire afin de s’adapter à la

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