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Isolé sur la péninsule, Doha avance méticuleusement ses pièces sur le continent. Mais se retrouve confronté aux réseaux de ses concurrents saoudien et émirati.
Depuis deux ans, les dirigeants qataris ont progressé en géographie africaine. Dans la foulée de l’embargo décidé contre l’émirat, en juin 2017,par l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis (EAU), le Bahreïn et l’Égypte, plusieurs pays–tous africains–prennent à leur tour des mesures de rétorsion diplomatique.
La Mauritanie, le Gabon, Djibouti, les Comores, le Sénégal, le Tchad et le Niger rappellent leur ambassadeur de Doha, voire interrompent les relations. « Il y a eu un petit moment de panique », reconnaît un responsable qatari. L’épisode marque le début d’une prise de conscience à Doha : le continent ne peut plus être négligé.
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