Il drogue son bébé pour abuser de lui avec la complicité de la mère

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« L’enfer est vide, tous les démons sont ici » Cette citation du célèbre dramaturge William Shakespeare met en lumière le fait que l’homme n’est pas exempt de cruauté et continue à sévir par ses crimes et ses ignominies. Cette histoire en est un exemple frappant. Un homme a été emprisonné pour avoir drogué et abusé de son bébé avec la complicité de sa petite-amie. Ce témoignage sordide nous est relayé par nos confrères du Daily Mail.

Cette histoire fait froid dans le dos. Un homme a été emprisonné pour avoir violé et abusé de son bébé de 2 ans avec la complicité de sa mère. Le quarantenaire est déjà inculpé pour trois chefs d’accusations dont des agressions sexuelles et des coups et blessures. Les soupçons de la police ont été éveillés quand ils ont reçu un appel de l’hôpital Anderson, dans l’état de l’Illinois.

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Droguée à la cocaïne

Pendant leur enquête, la police a découvert des preuves médicolégales que la petite fille de 2 ans a été abusée sexuellement. Le bébé aurait été violé à deux reprises et ce, à quinze jours d’intervalle. Les autorités ont également découvert des traces de morsure sur ses bras et ses jambes et des traces de cocaïne dans son organisme. Le dossier révèle que sa mère, Lacey Take, n’a pas soigné sa fille après la première agression.

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Complicité

Après la découverte de ces preuves, la mère a été accusée de mise en danger d’un enfant et de complicité de viol car elle a confié sa fille à Matthew malgré son premier viol. Le bébé a été transféré à l’hôpital pour enfants de la commune pour plus d’examens. La caution de Matthew est établie à 1 000 000 de dollars (913 650 euros) et celle de la mère s’élève à 500 000 dollars (456 825 euros).

Indignation

Cette histoire sordide n’a pas manqué de susciter une réelle vague d’indignation sur les réseaux sociaux. « Les gens qui commettent ces crimes ne devraient jamais être en liberté. Seul un monstre peut abuser d’un enfant de 2 ans » commente un utilisateur de Facebook. « S’il vous plaît ne lui rendez plus jamais son bébé » peut-on lire sur le réseau social. En effet, la sensibilisation quant à la violence commise sur des mineurs est cruciale pour aider les victimes.

Viols sur mineurs : une chape de plomb

Les chiffres du service ministériel de la sécurité intérieure sont alarmants. 8788 plaintes pour viols sur mineurs et 14763 pour agressions et atteintes sexuelles ont été enregistrées par les autorités en 2018. Selon Violaine Blain, directrice générale du Groupement d’Intérêt Public de l’Enfance en Danger, 95% des violences sexuelles se déroulent au sein de la cellule familiale. « Lorsque l’enfant est petit, il culpabilise en se disant que c’est de sa faute s’il a enduré tout ça. » déclare l’experte de la question. Souvent, un amnésie post-traumatique peut déconnecter la victime de ce souvenir. Des réminiscences peuvent ensuite apparaître à l’âge adulte. Violaine Blain explique qu’une complicité peut d’autant plus culpabiliser l’enfant victime d’agressions sexuelles. « L’autre parent peut persuader son enfant que ce qu’il a vécu n’est pas si grave et que s’il parle, il risque de mettre en péril l’équilibre de la famille » Toutefois, des signes symptomatiques d’une agression sexuelle peuvent être repérés par les enseignants ou adultes gravitant dans l’entourage de l’enfant. Un comportement sexualisé précoce, des dessins équivoques, des troubles de l’alimentation, autant d’indices qui peuvent potentiellement déceler des abus sexuels sur un enfant.

Le numéro 119 est à disposition des personnes souhaitant avoir plus d’informations sur les violences familiales et pour les victimes ou témoins de l’enfance en danger.



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