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L’un est un novice, l’autre un habitué des arcanes du pouvoir. À quelques jours d’une présidentielle dont Macky Sall est le favori, Ousmane Sonko et Idrissa Seck incarnent les deux faces d’une classe politique en pleine recomposition.
« Ce qui m’a séduit chez Ousmane Sonko, c’est qu’il incarne une rupture avec la politique politicienne. » L’architecte Pierre Goudiaby Atepa a fait son choix. Depuis que sa candidature « citoyenne » a été invalidée par le Conseil constitutionnel, en janvier, il ne jure que par Ousmane Sonko.
À Versailles, au début de février, il a même plaidé auprès de l’ex-président Abdoulaye Wade – dont il fut ministre conseiller – pour que celui-ci appelle ses troupes à voter pour le député quadragénaire en l’absence du candidat du Parti démocratique sénégalais (PDS), Karim Wade, empêché de se présenter. Sans succès.
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