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Le 31 mars 2019, le Royaume-Uni était censé quitter formellement l’Union européenne (UE). On connaît l’histoire : il n’a largué les amarres que le 31 janvier 2020.
Cette année, le 31 mars devait correspondre à un autre « exit », celui de Meghan Markle et du prince Harry. Mais eux n’ont pas attendu la date officielle pour s’envoler vers le Canada.
Imaginaient-ils rentrer fin mars pour faire une dernière bise à la reine ? C’est raté : pour freiner la pandémie due au coronavirus, Justin Trudeau a fermé, le 18 mars, toutes les frontières de son pays. Voilà donc le jeune couple libéré de ses obligations royales, loin du Royaume-Uni et des ingratitudes supposées des médias insulaires.
Les Britanniques ne semblent pas regretter outre mesure le couple : selon un sondage réalisé en ligne le 10 mars par le Daily Express auprès d’environ 20 000 internautes, 85 % d’entre eux ont affirmé qu’ils n’étaient pas « tristes » du départ de Meghan et Harry.
Beaucoup ont ajouté qu’ils s’inquiétaient surtout d’avoir à continuer à payer pour le train de vie de la duchesse et du duc de Sussex, notamment pour leur sécurité – les Canadiens ont refusé d’assumer le coût de cette dernière. « Fermez la porte derrière vous et payez les factures avant de partir », a posté un lecteur sur le site du journal.
Tournée d’adieux réussie
En revanche, les journalistes, qui ont massivement pris parti contre le couple quand il a annoncé, début janvier, son intention de partir, se sont montrés bien plus ambigus ces derniers jours.
En 2019, les tabloïds avaient sonné la charge – surtout – contre Meghan, critiquant les réaménagements à 2,4 millions de livres (2,7 millions d’euros) de Frogmore House, le cottage offert par la reine, dénonçant la propension du couple à préférer les jets privés aux vols commerciaux tout en faisant la morale au reste du monde sur l’environnement. Ils avaient aussi très peu apprécié leur manière de snober le « Royal rota » (les journalistes et photographes accrédités pour suivre les membres de la famille royale) au profit de Twitter et d’Instagram.
Les médias n’ont rien perdu de leur mordant pour le dernier « tour », mi-mars à Londres, du prince et de son épouse américaine, mais même le Sun a concédé du bout des lèvres que cette tournée d’adieux avait été une réussite. Certains ont avoué qu’ils allaient regretter ce « power couple » et cette ex-actrice, probablement pas assez britannique et trop jet-setteuse pour que la greffe avec la famille Windsor prenne, mais qui attrapait si bien la lumière.
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