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Entre islamistes et “modernistes”, le petit jeu des alliances a repris de plus belle en Tunisie. Avec en point de mire les législatives d’octobre et la présidentielle de novembre.
Ennahdha cherchait à reprendre la main sur le récit médiatique. Deux annonces lui auront permis de faire les gros titres. Le 12 février, Lotfi Zitoun, membre du bureau exécutif, a exhumé de nouveau l’hypothèse d’une candidature de Rached Ghannouchi, chef du parti, à la présidentielle. Celui-là même qui, quelques jours plus tôt, avait provoqué un tollé en s’octroyant le beau rôle dans la résolution du conflit qui minait le secteur de l’enseignement. Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, a alors dû improviser une allocution télévisée, tandis que l’UGTT, syndicat majoritaire, se fendait d’un démenti, accusant le chef des islamistes de chercher à tirer la couverture à lui.
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