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Au pouvoir depuis à peine deux mois, le président congolais Félix Tshisekedi doit déjà composer avec l’impatience de sa base, l’influence de son prédécesseur et les attentes des Occidentaux.
Ronds-points bloqués, pneus brûlés, manifestation dans l’enceinte même du Palais du peuple et en direction de la présidence… Pendant quelques heures, le 16 mars, le ciel de Kinshasa a été obscurci par une épaisse fumée noire dans une atmosphère quasi insurrectionnelle. Le plus surprenant est que les manifestants appartenaient pour la plupart à l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le propre parti du président. Lui-même est en poste depuis à peine deux mois.
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À l’origine de leur colère : l’annonce des résultats des élections sénatoriales, quelques heures plus tôt. Celles-ci ont consacré une large victoire du Front commun pour le Congo (FCC), le parti de l’ancien président Joseph Kabila, avec 84 élus sur les 100 sièges à pourvoir.
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