Entretien avec Henry Golding: Snake Eyes

le GI Joe la franchise de films revient en grand avec le Œil de vipère spin-off, qui débute le 23 juillet. L’histoire d’origine suit le mystérieux ninja Snake Eyes (joué par Henry Golding de Crazy Rich Asians renommé) et comprend d’autres personnages préférés des fans comme Scarlett, Storm Shadow et The Baroness.

Golding a parlé à Screen Rant de la façon dont il pénètre dans l’espace libre de son personnage, de ce à quoi les fans peuvent s’attendre du film et de la direction qu’il aimerait que la franchise aille à l’avenir.

Quelles ont été certaines de vos inspirations pour le personnage et quel genre de recherche avez-vous fait sur Snake Eyes?

Henry Golding: Ce qui est fascinant quand on commence un personnage à son origine, c’est qu’on crée les motivations, parce qu’on n’a pas d’histoire sur laquelle se rabattre. Alors, je lis sur son temps dans la guerre du Vietnam et [so forth] – pour moi, j’avais besoin de comprendre la création de notre univers de Snake Eyes, car nous partons dès le premier jour et voyons ses défauts. Nous voyons ses mauvais virages, je suppose; ses décisions qu’il a prises n’étaient pas les plus grandes.

Ses motivations ne sont pas pour les bonnes causes lorsque nous le rencontrons pour la première fois, et nous devons comprendre comment devient-il un Joe? Comment devient-il le Snake Eyes que nous connaissons et aimons tous? Parce qu’il n’y a pas de bâtiment sans fondations. Avoir le luxe de revenir en arrière et de raconter cette histoire, et de montrer la lutte et le chagrin d’amour et lui à son plus brisé, nous permet d’être en mesure de le construire à son plus fort.

Beaucoup de gens disaient: “Regardez, il y a toute une histoire de Snake Eyes.” Mais ce n’est pas sur quoi se concentre ce film. Nous avons besoin que vous vous concentriez sur ce facteur qui le pousse à travers ce film, que je ne peux pas révéler. Mais vous devez comprendre pourquoi il fait tout et quelles sont ses motivations.

Ce fut une joie de travailler avec Larry Hammer, car il est le producteur exécutif. En discutant avec lui, il était définitivement du genre: «J’aurais vraiment adoré emmener ces personnages dans cet endroit précis. Mais avec la responsabilité que j’avais avec les bandes dessinées et les personnes auxquelles je devais répondre, je ne peux pas faites comme le gars de la bande dessinée – en tant qu’illustrateur, créateur et conteur. ” Donc, je pense que l’avoir sur ce film comme EP nous a donné l’élasticité artistique pour raconter l’histoire que nous avons toujours voulu raconter.

Certains des designs les plus cool de tous les personnages jamais créés doivent être Snake Eyes et Storm Shadow, et ils commencent comme des frères dans la plupart des itérations de leurs origines. Pouvez-vous me dire où ils en sont dans ce film, en termes de relations?

Henry Golding: Nous sommes juste au début. Nous sommes au stade où la construction de cette Fraternité est la clé pour avancer dans toute cette série.

Comment ce lien a-t-il été si fort qu’ils se détestent avec une férocité pas comme les autres, mais en même temps plus tard, se permettent de se rassembler et de se battre pour une cause? Tu sais ce que je veux dire? C’est la relation la plus dynamique qui soit: une minute, ils se disputent; la minute suivante, ils se tirent des armes l’un contre l’autre. À la seconde, ils se disent: “Bon, appelons un traité de paix”.

Vous ne savez pas pourquoi à moins de regarder en arrière ce qui a tout déclenché, et c’est ce que nous explorons. Nous voyons la construction de ce plus grand ennemi de l’amitié jamais créé dans les bandes dessinées.

Je ne peux pas ignorer l’action de ce film, car il a l’air phénoménal. Nous avons la chance de vous voir avec beaucoup de jeu d’épée et d’armes à feu. Pouvez-vous me parler de la formation qui a été dispensée à Snake Eyes?

Henry Golding: Ouais. Nous avons eu un chorégraphe incroyable, Kenji Tanigaki, qui a fait tous les films de Rurôni Kenshin – qui sont le plus fou que vous ayez jamais vu au cinéma. Nous avons eu Kimani [Ray Smith], qui est également l’un des meilleurs chorégraphes de cascades du Canada.

Mais le fait de n’avoir qu’une base de boxe et de Muay Thai pour un profane a vraiment aidé à comprendre le mouvement et la mémoire musculaire, mais le travail du katana était tout nouveau. Donc, nous avons dû apprendre des bases pendant deux mois, jusqu’au point où nous pourrions faire ces fous de cul [fight scens] en plus de voitures en mouvement et de ces scènes d’autoroute.

C’était un défi. Mais nous avons travaillé avec les meilleurs des meilleurs pour nous amener à un point où, putain, ça a l’air fou! Comme vous êtes d’accord.

Une grande partie de ce film est tourné au Japon, ce qui, à mon avis, est le choix idéal pour commencer à raconter cette histoire. Pouvez-vous me parler de l’énergie que le Japon a apportée au film?

Henry Golding: Cela a apporté de l’authenticité. C’est ce que nous voulions, et c’était tout l’objectif de la relance de cette franchise: construire cet univers dans la réalité. Nous avons vu la construction du monde des films de super-héros, mais pour GI Joe, c’est pourquoi les fans l’aiment depuis si longtemps. C’est parce que vous et moi pourrions être un Joe si nous mettons nos têtes, nos esprits et nos cœurs dans quelque chose d’aussi grand et que nous nous consacrons à une cause. C’est ce que font ces personnes.

Pour pouvoir filmer dans le cœur et l’âme des Arashikage, il fallait aller au Japon. Où le filmez-vous ailleurs?

Vous pouvez devenir bleu et dire: «Nous représentons l’aspect asiatique», mais ne jamais aller au cinéma dans un pays asiatique et une ville qui est si présente dans l’histoire, ce serait un sacrilège. Pouvoir filmer dans ces temples vieux de 1000 ans et dans les châteaux de plusieurs générations dans lesquels nous avons pu filmer était une aubaine. Et pour pouvoir mettre ça dans notre film? Je ne sais pas, mec.

Dans beaucoup d’itérations de l’histoire de Snake Eyes, nous voyons sa relation grandir avec Scarlett (Samara Weaving). Que pouvez-vous me dire sur la relation dans ce film?

Henry Golding: Ouais, on nous présente Scarlett en tant qu’intermédiaire entre les Joes et les Arashikage. Donc, c’est elle l’agent que nous rencontrons qui nous renseigne sur des informations très importantes. Et, bien sûr, à notre tour, nous travaillons ensemble pour comprendre ce qui se passe.

La relation commence, comme toute relation dans ce film, comme celle du tout début; les premières réunions. Là où cela se déroule, nous pouvons développer cela de toutes les manières possibles. Mais je vais vous dire, en quittant la fin de ce film, c’est juste comme, “Où est le reste? Je veux plus. Racontez-nous l’histoire de tout le monde comme vous l’avez dit à Snake Eyes.”

Un autre personnage emblématique de GI Joe que nous voyons dans ce film est La baronne. Est-ce avant que Cobra ne soit vraiment formé, et que pouvez-vous me dire sur La baronne dans ce film?

Henry Golding: Sans donner trop de spoilers … Cobra est bien une organisation qui est présente dans ce film, La Baronne étant l’un de ses agents.

Comment dire ça? J’essaie juste de penser aux pièges où je peux mettre mon pied dans ma bouche. Mais non, le GI Joe n’est rien sans Cobra.

Dans la bande-annonce, nous pouvons voir le masque emblématique Snake Eyes. Le défi de Snake Eyes est de faire en sorte que le public sympathise avec un personnage qui a toujours son masque. Comment cela est-il géré dans le script et comment l’abordez-vous en tant qu’interprète?

Henry Golding: Je pense que c’est la construction de son parcours et la construction de sa véritable origine. Et comprendre que connaître un homme, c’est connaître son passé et les empreintes de pas qu’il a dû faire pour arriver là où il est arrivé.

Il était si important d’établir la norme et de jeter les bases de [him]. Si nous devions aller aux 5 ou 6 prochains films avec juste son masque, nous savons tous qui est Snake Eyes. Et c’était ce qui était si important. Les gens se plaignent que, “Ahh! Nous voyons son visage!” Eh bien, il n’est pas sorti du ventre de sa mère avec un masque et ainsi de suite. Qui peut dire que nous n’irons pas tout le reste des films [like that]?

Mais derrière le masque, c’est un gars. C’est un humain; il a des intérêts amoureux, il a des échecs dans la vie, il a des erreurs qu’il a commises et il a le pardon dans son cœur pour les choses pour lesquelles il pensait peut-être ne jamais pouvoir se pardonner. Nous devons être capables de voir cela dans ses yeux et, en portant un masque, parfois nous ne pouvons tout simplement pas le faire comprendre.

Un autre personnage du royaume Snake Eyes est son chien Timber. Avons-nous la chance de voir Timber?

Henry Golding: Cette question revient souvent. Cette chronologie, comme dans ce film, est que [a small part] de cela. Y a-t-il de la place pour le magnifique bois à l’intérieur? 100%. C’est tout ce que je vais dire.

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