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« That is what the Mauritian people rightly call incompetence… » : c’est ce qu’avait déclaré le leader de l’opposition, Xavier-Luc Duval, à l’Assemblée nationale, le mardi 9 novembre. Des propos tenus à l’issu des réponses fournies par le ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal, dans le cadre de la Private Notice Question (PNQ) ce jour-là.
Le débat portait sur l’achat de médicaments, destinés au traitement des patients atteints de la Covid-19, tels le Molnupiravir. Un sujet polémique et dont les achats font l’objet d’une enquête par les officiers de la commission anticorruption. D’autres médicaments étaient aussi mentionnés, tels le Ronapreve ou le Tocilizumab.
Xavier-Luc Duval s’indignait, avec raison, du fait que le gouvernement mauricien n’avait pas encore passé des pré-commandes pour lesdits médicaments destinés aux traitements des patients contaminés à Maurice.
Toutefois, bien que depuis une semaine les interrogatoires de plusieurs employés du ministère de la Santé ainsi que celles d’autres protagonistes se succèdent, des questions subsistent.
Si les enquêteurs de l’Independant Commission Against Corruption (ICAC) tentent de faire la lumière sur la manière, dont les commandes de Molnupiravir ont été effectuées, certaines sources affirment qu’un ou « des » membre(s) de l’opposition aurai(en)t vu leur plan déjoué en ce qu’il s’agit de l’achat dudit médicament, car ils auraient, semble-t-il, voulu avoir la main sur cette petite affaire qui aurait rapporté gros.
Tout le nécessaire avait déjà été fait, disent-elles, pour qu’une société « écran » basée aux Seychelles s’en occupe pour le plus grand bonheur des intéressés.
« Tapp plin… »
Il est bon de préciser que contrairement à Maurice, il n’y a pas de limitation sur la marge de profit lorsque l’on parle affaires dans l’archipel. Raison pour laquelle l’on s’interroge sur le fait que ce soit, probablement, le rejet de la demande de permis qui pourrait être la source de bien des maux.
In fine, « faut-il, en politique, parler de loyauté ? » comme se le demandait, avec raison, Raymond Barre, économiste et homme d’État français ?
La question mérite d’être posée.
Affaire Molnupiravir : entre déception, frustration ou vengeance ?
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