[ad_1]
Opposants arrêtés au Cameroun et au Congo-Brazzaville, situation politique au Gabon et évolution en Centrafrique… François Louncény Fall, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique centrale revient sur les dossiers brûlants qu’il doit gérer.
Jeune Afrique : Vous êtes en poste depuis maintenant deux ans. Quel diagnostic portez-vous sur l’état de santé de l’Afrique centrale ?
François Louncény Fall : Si je devais faire un constat global, je dirais qu’il y a des avancées notables en regard notamment de la tenue récente d’élections en RD Congo. Dans la région du Pool, au Congo-Brazzaville, l’espoir est également permis depuis qu’un accord politique a été signé, et nous suivons de très près le programme de désarmement qui est en cours.
Cela dit, nous avons des sources d’inquiétudes. Je pense en premier lieu à la Centrafrique et aux événements qui ont lieu dans les régions du sud-ouest et du nord-ouest du Cameroun. Nous sommes également inquiets concernant la frontière entre le Tchad et la Libye avec les récentes attaques de groupes armés.
Commençons par la crise au Cameroun anglophone. Yaoundé ne veut pas de dialogue, en
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: