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Double peine ce matin pour le maire du Tampon. Non seulement André Thien Ah Koon amoureusement décalqué par Leroy sèche sur la corde à linge mais le grand timonier pris en flagrant délire de manipulation pose à l’heure du petit-déjeuner, sur un rond-point, pour la postérité, en final de son œuvre politique, sous une bâche, sur une toile cirée crasseuse, servi par une amazone de la petite bande des Zazalés.
Cette joyeuse équipe de pitres reconstituée à la façon d’une ligue de bras cassés dissoute ne fera pas pour autant l’ouverture du bal. C’est un Comorien qui s’y colle et pas n’importe lequel. Dhoihir Dhoulkmal, fraîchement élu le 27 septembre dernier ministre des Affaires étrangères de l’Union des Comores, nous blouse, fraude du mieux qu’il le peut la Sécurité sociale, vole le contribuable, se fout de notre gueule…
J’explique le document que vous avez sous le nez à savoir l’attestation d’assuré à la CGSS sous le numéro 1690089939704217 du camarade Dhoihir, accessoirement ministre des Affaires étrangères du gouvernement comorien. Se faisant passer pour un ressortissant français, d’origine mahoraise, qui plus est sans le sou, sans revenus, de ce fait éligible au dispositif RSA, monsieur le ministre des Affaires étrangères fraude depuis des lustres la Sécurité sociale de la Réunion par le biais du dispositif CMU-C ….
Dit autrement, monsieur le ministre se palpe quelques milliers d’euros que la Sécurité sociale Réunion lui refile sans aucun contrôle depuis 2010 au moins alors que Dhoihir Dhoulkmal de nationalité comorienne a été…de 2011 à 2012 secrétaire général d’Anjouan, puis conseiller spécial du gouverneur d’Anjouan jusqu’en 2013, puis commissaire aux finances de l’exécutif, toujours à Anjouan jusqu’en 2015, puis député de la Nation, vice-président de l’Assemblée, membre de la commission des finances…Depuis le 27 septembre dernier, l’affilié à la CMU-RSA payable par la caisse de Sécu Réunion est ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement comorien du président Azali Assoumani.
Toutes nos félicitations… Il va de soi que le camarade ministre, comme une sorte de reconnaissance du ventre est aussi président du groupe d’amitié Comores-France. Cerise sur le gâteau, notre fraudeur a longtemps assuré avec brio la présidence aux Comores d’une commission parlementaire en charge d’enquêter sur un scandale financier lié à la citoyenneté économique… Et je vous laisse faire les commentaires non sans vous avoir précisé que si l’attestation indique que les droits de l’assuré-ministre courent jusqu’en juin 2019, ces droits-CMU-RSA-ont été immédiatement renouvelés jusqu’à plus soif…
La transition avec celles et ceux qui se pointent, les joyeux comiques des Zazalés, s’impose. À la façon de monsieur le ministre des Comores, ces messieurs-dames sont toutes et tous titulaires des prestations françaises délivrées sans contrôle qui permettent à la première feignasse venue d’encaisser la monnaie sans rien foutre… Une différence toutefois avec notre camarade ministre comorien et celles et ceux des Zazalés. Dhoihir Dhoulkmal travaille, fait le ministre, préside le groupe d’amitié Comores-France. Celles et ceux des Zazalés ne foutent rien et pissent sur la France.
Vous me permettrez avant d’entrer sans frapper…sur le rond-point de ces messieurs-dames et de leur mentor en exercice de revenir en quelques lignes sur la dernière législative partielle de dimanche dernier. Karine Lebon candidate de madame Bello est députée. Cela ne sera pas simple parce que, ayant constaté qu’elle n’avait jusqu’ici pas grand-chose à dire, il lui faudra maintenant apprendre à faire semblant d’exister, d’aligner quelques phrases sans les oreillettes des défroqués du PCR. Audrey Fontaine, conseillère municipale, opposante d’Huguette Bello, a gagné sur un prénom et deux objectifs au moins, celui de ne plus faire comme avant, de rassembler à Saint-Paul sur la base d’une nouvelle droite enfin débarrassée de ses parasites… Pas simple non plus. Le plus “dur” reste à faire. Celui de faire peau neuve et de s’imposer face aux ténors de droite à la condition toutefois que Michel Fontaine et Didier Robert, Cyrille Melchior aussi, s’entendent, pactisent en vue des régionales et départementales à venir. Dans le cas contraire, Audrey Fontaine devra choisir, pas simple…
Le maire du Tampon a toujours su manipuler les nervis. Lorsqu’ils se font rares, il en invente d’autres. Hier, au temps béni du PCR de Paul Vergès, de son fils Pierre, d’Huguette, de Claude, d’Élie… il faisait cogner leurs femmes et rouler un 4×4 sur les pattes des militants communistes. Aujourd’hui, André Thien Ah Koon, la mémoire défaillante, passe alliance avec les défroqués, emploie leurs anciennes éminences grises, Idriss Omarjee, El Diablo pour les intimes, dont il serait plus raisonnable aujourd’hui de le baptiser El Diabolo vu que sous la coupe de la patronne, Idriss ne devrait pas trop faire le mariol. Le nervi se faisant rare, le maire du Tampon s’en est allé les recruter sur un rond-point de sa commune, histoire d’emmerder celles et ceux qui souhaiteraient mettre un terme à la mainmise tamponnaise sur les autres communes sudistes autre que Saint-Pierre. Un rapide historique s’impose.
Autre temps, autre envergure… L’histoire politique sudiste de ces derniers mois passe maintenant par un rond-point plus ou moins pouilleux et bâché tout bêtement occupé en octobre 2018 par des “gilets jaunes”. Fin de crise du premier épisode, les “gilets jaunes” s’essoufflent, rentrent chez eux. Des “activistes” comme ils se définissent, prennent le relais… Personnellement, je me moque éperdument de ce que ces gens-là représentent, de ce qu’ils disent et font. Tout particulièrement lorsque la bande des Zazalés en mode Daesh tout de noir vêtue et cagoulée sabre à cannes en pogne, un marmot armé d’une… fourchette, balance cette vidéo sur les réseaux histoire de faire peur, de soutenir les victimes des violences policières… En revanche, lorsque deux ou trois de leurs pimpims menacent, pourrissent sur les réseaux sociaux des journalistes du JIR, des jeunes femmes bien évidemment, je demande poliment à ces messieurs-dames de ne plus jamais recommencer…
Lorsqu’un élu de la République entre dans la danse, manipule ces joyeux comiques dans le but soit de venir nous enquiquiner, soit d’aller mettre le bousin chez le voisin, dans la commune de Saint-Joseph, sous le nez de Patrick Lebreton, maire de ce bled, le sujet prend une autre tournure. Une tournure d’autant plus étonnante que depuis janvier dernier, un zadiste formé à Notre-Dame-des-Landes, un certain Richet, est sur place sur le rond-point en mode formation de la grattèle locale… Une tournure d’autant plus étonnante que le quidam de base, les voisins des “activistes”, qui se font quotidiennement emmerder et spolier leurs terrains privés par cette équipe sont en droit de demander à la préfecture, au sous-préfet , à la Région en charge du rond-point, au maire du Tampon de les faire dégager, “remplacer” par des pots de fleurs par exemple… Ce que personne ne fait priant pour que le parquet de Saint-Pierre, sur initiative sans doute, fasse le sale boulot… Peuvent toujours rêver…
C’est le contraire qui se passe. Ils sont une poignée, qui ont élu illégalement domicile sur le rond-point. Ces messieurs-dames pissent et caguent dans des toilettes sèches, ont piraté avec autorisation de la mairie du Tampon eau et électricité qu’ils ne payent pas, qui servent au fonctionnement du frigo et congélateur, preuve que les “activistes” boivent frais. La boustifaille n’est pas un souci non plus puisque la mairie du Tampon assure le ravitaillement midi et soir. À part cela, les méchants occupent un joli lopin de terre, pas trop loin du rond-point, dont ils ont fait leur potager, ce que forcément contestent les propriétaires du terrain qui ont osé porter plainte ce dont tout le monde se fout d’ailleurs…Pour s’occuper, nos barbus sans barbe s’en vont parfois en expédition punitive contre le grand capital piquer quelques outils et matériels divers qu’ils exhibent sur les réseaux sociaux, ce qui les différencie des vrais méchants, barbus égorgeurs et/ou coupeurs de têtes de mécréants… Les pandores fatiguent, les RG aussi forcés de suivre ces lascars que le pouvoir fait mine d’ignorer…
En retour des largesses du maire du Tampon, les activistes- indépendantistes aussi, ça va avec, adeptes du grand remplacement, comme en métropole le sont certains abrutis, sont aux ordres de TAK. Au début de l’histoire, un petit groupe de contestataires en mode “collectif des jardins de Manapany”, en fait des gens qui se foutent de tout, des voisins tout particulièrement, de la nature, canettes vides, sono à fond, le jour, la nuit sauf le matin de bonne heure, vu qu’à cette heure celles et ceux du collectif, passablement bourrés et zamalés, pioncent… Il faudra la révolte de Patrick Lebreton contre TAK et la CaSud pour que les “activistes” des zazalés entrent dans le bal Manapany à la demande de TAK, rejoignent le collectif, occupent 8 dimanches de suite les lieux…
Cela a commencé bien évidemment par quelques coups de trompette sur les réseaux sociaux histoire de rameuter la chienlit… Pour se terminer sur le terrain lors d’une mini manif, à cracher sur Patrick Lebreton maire de Saint-Joseph, à se faire très gentiment dérouiller par les pandores qui profiteront de la danse pour en faire quatre aux pattes. Jade Jourdan sorte d’actrice, Xavier Rivière, Ludovic M’Doihoma, Richet le zadiste métropolitain… En manque un à l’appel, André Thien Ah Koon élu de la République pour complicité en bande de jeanfoutre, incitation au bordel, à la haine, au racisme… J’oubliais… Il y avait aussi une professeure des écoles- mais oui- Tiphaine Zhuinguedeau, membre de l’association, pas franchement contre l’utilisation abusive de la canette et de la came sur le site et plutôt fière d’ailleurs de l’évoquer au JT de Réunion la 1ère…
En conclusion, je me demande tout de même si André Thien Ah Koon ne serait pas aujourd’hui victime d’une sorte de syndrome de Stockholm car pris en otage par un loustic du PCR , un certain Boris Carassou, sorte de monsieur 10% sur pattes, terreur des demoiselles du temps où il officiait au sein de la mairie de La Possession en qualité de DGS dans les pattes de Roland Robert dont il fut l’un des artisans de sa défaite aux municipales… Je vous passe les innombrables merdiers et affaires qui ont pourri la vie de Roland Robert, celle du lotissement “les Jujubes” par exemple, dont l’actuel DGS de la CaSud du maire du Tampon a été le responsable.
Visiblement, Carassou en mode coco a pris le pouvoir à la CaSud. C’est lui qui a mené le bal de l’élection de TAK à la présidence du 10 juillet dernier. C’est encore lui qui a orchestré les 17 démissions des élus tamponnais histoire de “s’indigner” de la candidature du maire de Saint-Joseph à la présidence de la CaSud… Une série de démissions que le rapporteur public, lors de l’audience du 29 septembre au tribunal administratif à la demande de l’opposition après avoir précisé que “la démocratie ne ressort pas grandie”, a qualifié de “manœuvres politiciennes de bas étages, de déni de démocratie organisé”… Ah oui… J’allais oublié de préciser que pour être complet dans l’appel à la réserve communiste, le maire du Tampon a demandé au Boniface d’avocat , conseil historique du PCR et de Paul Vergès , de bien vouloir assurer la défense de ses intérêts politiques, de sa commune aussi. C’est le même Boniface d’avocat que les femmes de l’UFR présidée par Huguette Bello avaient choisi pour se porter partie civile lorsque TAK les avait fait dérouiller par ses nervis… Plus la laisse est courte, plus la gamelle est bonne.
J’aurai voulu chuter ainsi, le début rattrapant la fin… Sauf que j’ai tenu, avant de vous quitter, à vous faire remarquer que depuis quelque temps, un certain nombre de clients du samedi, rattrapés par la patrouille, se retrouvent en garde à vue, de là chez le juge, pour finir au trapèze… Les plus récents, les pensions marrons, Di Donato pour la Cité des dirigeants, Patrick Panchoo, vendeur de cachous et suppositoires, accessoirement pharmacien déjà connu des douaniers pour s’être fait agrafer à Roland-Garros avec 100 000 euros dans le fond d’une valise. Depuis des lustres, le vendeur de cachous bidouille, distribue des médicaments périmés, emprunte les cartes vitales de son personnel, des clients aussi, surfacture en complicité avec quelques toubibs et infirmiers…
En tant que pourvoyeur régulier de clients, version auxiliaire de justice pour le moment bénévole, dans la mesure où le gouvernement tarde, visiblement peine à aider, à aligner la presse écrite domienne sur nos confrères métropolitains, je me demande si, à l’appui d’un petit mot du PG, contresigné par les chefs des deux parquets, le ministère de la Justice pourrait mettre la main à la poche en attendant que Paris se décide…
J Tillier
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