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Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, entouré de ses homologues iranien (à dr.) et syrien,le 14 avril 2017 à Moscou. © Pavel Golovkin/AP/SIPA
Au Moyen-Orient, où la puissance américaine est moins active depuis qu’elle extrait son propre gaz de schiste et qu’Israël a gagné en puissance, la Russie est de retour au premier plan, notamment sur les théâtres de conflit en Syrie et en Libye.
Le Moyen-Orient. Le général de Gaulle en a dit jadis qu’il était « compliqué » et qu’il convenait de l’aborder « avec des idées simples ». Il y a un siècle, alors au faîte de leur puissance, le Royaume-Uni et la France en remodelèrent les contours, défaisant des régimes et redessinant des frontières. Après leur échec de Suez en 1956, ce fut au tour des États-Unis et de l’URSS d’étendre leur influence sur cette malheureuse région. Les pays du Moyen-Orient devinrent alors les clients-jouets des « deux grands ».
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