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Le ministre de l’Administration territoriale et le PDG d’Equinoxe Télévision au Cameroun, sur fond d’accusations de massacres commis par l’armée camerounaises dans les régions anglophones.
C’est un point de presse, le 9 mars à Yaoundé, qui a mis le feu aux poudres. Ce jour-là, Paul Atanga Nji, le ministre de l’Administration territoriale, accuse plusieurs médias, dont Equinoxe Télévision, l’une des plus importantes chaînes privées du pays, sise à Douala, de relayer l’activité d’ONG elles-mêmes qualifiées de « fabriques de faux rapports ».
Un rapport au cœur de la discorde
Particulièrement en verve, Atanga Nji fait allusion à un rapport de Human Rights Watch, publié le 25 février, selon lequel l’armée camerounaise est responsable de la mort de 21 personnes à Ngarbuh, dans le Nord-Ouest anglophone.
Le ministre menace de fermer lesdits médias au motif qu’ils « n’ont pas vocation à jeter de l’huile sur le feu » et que « le Cameroun n’a pas besoin de “radios des Mille Collines” ».
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