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Depuis son élection, l’hôte de la Maison-Blanche s’ingénie à prendre de court ses collaborateurs comme ses alliés, notamment en ce qui concerne le monde arabe.
«Pour les Arabes, rien ne va changer. Ce n’est pas le chef de l’État américain qui décide de la politique étrangère américaine. » C’est ainsi que l’écrivain égyptien Omar Kamel jugeait l’avènement de Donald Trump en 2016 sur la radio canadienne CBC. De fait, à Washington, les présidents changent, mais les relations arabo-américaines obéissent aux mêmes constantes géopolitiques : maintien et protection des bases militaires, de l’accès stratégique au pétrole, sans oublier évidemment le soutien à l’État hébreu et son corollaire, la pression sur l’Iran.
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