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Avec « Les jours viennent et passent », la romancière camerounaise dissèque la violence du présent, nourrie par les extrémismes de toutes sortes, à la lumière d’un passé trop souvent dévoyé. Entretien.
Dans son quatrième roman, Les jours viennent et passent, Hemley Boum – dont le prénom d’auteur signifie « espérance » en bassa – s’attaque aux ressorts intimes de l’embrigadement des jeunes par Boko Haram, et déploie une longue fresque politique touchant plusieurs générations de Camerounais.
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