Dans l’ombre du Covid-19, le syndrome respiratoire du Moyen-Orient – Jeune Afrique

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Un employé indien dans une ferme d’Arabie saoudite près de Riyad. Le gouvernement a demandé que soit porté un masque en présence de ces animaux pour éviter de répandre le Mers.

Un employé indien dans une ferme d’Arabie saoudite près de Riyad. Le gouvernement a demandé que soit porté un masque en présence de ces animaux pour éviter de répandre le Mers. © FAYEZ NURELDINE/AFP

Moins contagieux mais beaucoup plus dangereux que le Covid-19, le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (Mers-CoV) sévit principalement dans la péninsule arabique.


Il n’y a pas que le Covid-19 qui menace les vies humaines. Un autre coronavirus, le Mers-CoV, a contaminé 2 553 personnes dans 27 pays et provoqué la mort de 876 de ces malades entre 2012 et le 31 mars 2020, selon le bulletin d’information sur les flambées épidémiques publié le 5 mai par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ses caractéristiques : il est peu contagieux, très dangereux, transmis par le dromadaire et principalement localisé dans la péninsule arabique.

En 2012, intrigué par l’absence d’efficacité d’un traitement antibiotique sur les graves symptômes respiratoires de certains de ses patients, un médecin égyptien travaillant dans un hôpital saoudien avait envoyé un échantillon de prélèvement dans un laboratoire de Rotterdam. Celui-ci avait alors identifié un coronavirus baptisé « syndrome respiratoire du Moyen-Orient » (Mers) et classé dans la catégorie des « syndromes respiratoires aigus sévères » (Sras).

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