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Réfugié en Afghanistan depuis sa fuite du Soudan en 1996, le chef d’Al-Qaïda se lance dans une stratégie de confrontation avec les États-Unis.
« Le combat vous a été prescrit alors qu’il vous est désagréable. » (Coran, Sourate de la Vache, verset 216) Certes, le Livre Saint semble assez peu ambigu sur la nécessité pour les musulmans de défendre leur religion par les armes, mais ce combat peut-il viser des civils, même « mécréants » ?
Le Prophète n’a t-il pas insisté sur l’obligation faite à tout combattant musulman de « ne pas mutiler les dépouilles des ennemis, de ne tuer ni femmes, ni enfants, ni vieillards, (…) de ne détruire aucun lieu habité (…) et de ne pas se rendre coupable de lâcheté ? » Surtout, n’est-ce pas extrêmement risqué pour la survie même d’Al-Qaïda ? Oussama ne va-t-il pas trop loin cette fois ?
Réticences
Ces réflexions trottent dans la tête de Abou Hafs, numéro 3 de l’organisation terroriste, après la réunion à laquelle il vient d’assister en compagnie des cadres d’Al-Qaïda et de son ami Oussama Ben Laden, en ce jour de juin 2001. Le chef d’Al-Qaïda lui a confié un projet « d’attaques inédites et massives contre les États-Unis (…) ». Sans en dire plus.
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