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Le Tchad et la République centrafricaine, qui dépendent en partie des ports de Douala et de Kribi, se sont inquiétés de la décision prise le 17 mars par le gouvernement camerounais de fermer les frontières du pays à cause du coronavirus.
Un retropédalage non assumé. « Cette décision unilatérale traduit une absence de concertation avec les pays de l’hinterland », ironise un observateur. Le 17 mars, Yaoundé prend en effet 13 mesures, dont la fermeture de ses frontières aériennes, terrestres et maritimes, afin de lutter contre la pandémie du Covid-19.
Le lendemain, le Premier ministre Joseph Dion Ngute préside, « sur très hautes instructions » de Paul Biya, une concertation interministérielle restreinte, pour apporter des correctifs.
Il en ressort, entre autres, que « les échanges commerciaux avec l’étranger vont se poursuivre, en particulier avec le Tchad et la République centrafricaine, sans préjudice du contrôle sanitaire des conducteurs », mentionne le communiqué qui s’en est suivi.
Dépendance vis-à-vis des ports camerounais
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