Comment le faucon et le soldat de l’hiver ont caché son vrai méchant à la vue de tous

Le faucon et le soldat de l’hiver avait plusieurs arcs d’histoire interconnectés et des méchants, mais cachait son véritable méchant à la vue de tous. C’est parce que le principe directeur derrière ses divers volets narratifs était la fidélité – un engagement de service ou d’adhésion – l’échec ou la trahison. La défaite des méchants nominaux – les Flag-Smashers – n’est pas triomphante mais mélancolique, et le discours de Captain America dans le dernier épisode dénonce les échecs et les trahisons qui ont conduit aux extrêmes des Flag-Smashers. Les Flag-Smashers ont échoué par le GRC (dans lequel les États-Unis jouaient un rôle de premier plan), de la même manière qu’Isaiah Bradley, John Walker, Sharon Carter et Sam Wilson ont été échoués par leurs branches de service respectives.

Traditionnellement, il faut répondre à la fidélité avec loyauté – un engagement à servir les intérêts d’un groupe ou d’un gouvernement qui a des obligations au nom du groupe auquel il s’engage. Lorsque cela ne se produit pas, la partie lésée peut demander réparation ou poursuivre d’autres options – comme Sharon Carter, devenant le Power Broker. Ils peuvent également craindre un traitement futur dans le même sens, comme Isaiah Bradley prétendant être mort, ou répondre avec colère, comme John Walker face à son maréchal de la cour et à une décharge autre qu’honorable. Même s’ils souhaitent toujours servir, une telle trahison n’est pas facilement oubliée; Bucky et Sam montrent tous deux qu’ils sont très conscients de ce que le gouvernement avait fait et était disposé à faire.

En rapport: Isaiah Bradley a créé un trou de parcelle de bouclier et de soldat d’hiver

Les personnages de Le faucon et le soldat de l’hiver viennent souvent à des chances; ce qu’ils ont en commun, c’est que la plupart d’entre eux sont des études de cas sur ce qui se passe lorsque la fidélité n’est ni reconnue ni restituée. Cela fait avancer un thème introduit dans Captain America: guerre civile, où les conséquences découlent d’une action gouvernementale radicale qui néglige l’importance des individus. Cela met une fois de plus en place le gouvernement (ou des organismes gouvernementaux tels que le GRC) comme une forme de méchant qui ne peut être vaincu par la violence.

Les personnages clés du Falcon & Winter Soldier soulignent les erreurs du gouvernement

L’opinion d’Isaïe Bradley a changé à propos de Sam Wilson devenant Captain America, mais le sort qui lui est arrivé après son service dans son pays était injuste et injuste. Sharon Cater pourrait être méprisée pour avoir utilisé ses compétences d’espionnage en tant que voleuse, clôture et courtier en puissance, mais il est également facile de voir la source de son indignation. Après tout, “Team Captain America” ​​a reçu des pardons et des pardons pour avoir résisté aux accords de Sokovie, et elle ne l’a pas été. John Walker n’avait pas tort quand il a dit qu’il était ce que le gouvernement avait fait de lui – et si ce n’était pas ce qu’ils voulaient que Captain America soit, leur choix se reflétait mal sur eux.

Aussitôt que Capitaine Amérique: Le Soldat de l’Hiver, l’idée que les systèmes gouvernementaux n’interagissaient pas bien avec les super-héros était un thème sous-jacent. Le gouvernement aurait peut-être mis en place une campagne de relations publiques pour comme John Walker comme Captain America, mais ne tenait pas compte des différences entre un bon soldat et un super-héros. En le brûlant – plutôt que de montrer de la compassion pour sa perte et sa difficulté à y faire face – ils ont trahi la promesse qui allait au-delà de son statut de soldat. Le gouvernement n’a pas reconnu sa propre culpabilité de placer quelqu’un qui était encore aux prises avec des problèmes psychiatriques après son déploiement dans un environnement à enjeux élevés et à haut risque, puis l’a blâmé lorsque les choses allaient mal.

Le gouvernement n’a pas réussi à protéger les personnes représentées par les défenseurs des drapeaux

Les Flag-Smashers étaient composés de personnes déplacées et de réfugiés qui s’étaient créés des maisons et des vies pour eux-mêmes. Lorsqu’une crise humanitaire se profile, ces personnes ne sont pas simplement déplacées, mais renvoyées – pour autant que leurs actions nuisent aux personnes qui reviennent, leurs griefs sont dirigés contre les gouvernements qui les ont accueillis. Ils se seraient raisonnablement attendus à être traités comme des citoyens de leur nouveau pays. Au lieu de cela, le Les Flag-Smashers ont fini par devenir des ennemis aux endroits où ils avaient élu domicile pendant des années et où ils étaient auparavant membres de communautés et d’une société.

En rapport: La guerre civile a mis en place (et expliqué) la liste de Bucky dans Falcon & Winter Soldier

Bien que l’histoire des Flag-Smashers soit inexorablement liée au Super Soldier Serum qu’ils ont volé, leur plainte était légitime. La protection des personnes qu’il sert et représente est généralement considérée comme l’une des plus hautes priorités d’un gouvernement. En échouant à le faire, il a créé son propre antagoniste, et alors que le Conseil mondial du rapatriement essayait ostensiblement de chercher un terrain d’entente, on ne peut nier qu’il l’a fait en faveur des personnes qui ont disparu dans le Blip. Ce n’était en aucun cas une tâche facile à accomplir, mais cela n’aide guère à apaiser le sentiment de trahison que ressentirait quelqu’un qui avait été si déplacé.

Le véritable méchant du Falcon & Winter Soldier était l’inaction et la faute professionnelle du gouvernement

Certaines des trahisons de confiance provoquées par les organes gouvernementaux étaient actives, comme emprisonner Isaiah Bradley pour des actions qui reflétaient celles de Steve Rogers. Plus subversives, cependant, étaient les trahisons de confiance qui venaient d’un simple manque d’action. Ce n’est pas la rancune qui a conduit Sharon Carter à ne pas recevoir de grâce pour avoir aidé Captain America et le Falcon – rien n’indique qu’on y ait pensé du tout. Lorsque Steve Rogers et Sam Wilson ont reçu des pardons et un pardon tacite pour s’être opposés au gouvernement, elle a tout simplement été oubliée. John Walker, comme mentionné précédemment, a été victime d’un gouvernement plus intéressé par son apparence en tant que Captain America que par son aptitude au rôle. Même Sam et Bucky sont simplement tombés entre les mailles du filet, Sam n’ayant aucun historique financier pour subvenir aux besoins de sa famille et Bucky recevant un traitement de santé mentale bien intentionné mais insuffisant.

le anarchie qui a suivi le Blip à la fin de Fin du jeu déclencher une crise mondiale qui a affecté la vie de milliards de personnes. En tant que problème le plus urgent auquel s’attaque toute organisation gouvernementale nationale ou mondiale, il devrait être la priorité principale de chacun de ces organes. Captain America note la facilité avec laquelle ils peuvent accomplir des exploits monumentaux; la capacité de rallier l’aide et le soutien à l’échelle mondiale devrait rendre même la tâche ardue de résoudre cette crise humanitaire gérable. Néanmoins, il n’y a aucun sens qu’il y avait une quelconque intention de le faire avant le discours et l’intervention de Captain America.

Les actions entreprises par les personnages principaux tout au long de la série reflètent un sentiment de désillusion. Avec leurs attentes de soutien trahies, ils ne savent pas qui ils sont ou ce qu’ils devraient faire. John Walker a reçu une grâce, mais savait seulement être soldat; Sharon Carter n’a pas reçu de pardon et a eu d’autres utilisations de ses capacités d’espionnage. Sam et Bucky étaient tous les deux à la dérive après la bataille avec Thanos, et les Flag-Smashers ont commis des actes de violence contre un monde qui leur a dit qu’ils n’y avaient pas leur place. Bien que les antagonistes ne manquent pas Le faucon et le soldat de l’hiver, en trahissant la fidélité qui leur a été montrée, les conseils et les forces du gouvernement ont fini par devenir les méchants.

Suivant: Le lancer de bouclier de Sam Wilson est plus impressionnant que Steve Rogers

A propos de l’auteur