[ad_1]
La démographie et le talent n’expliquent pas à eux seuls le succès phénoménal de l’industrie musicale nigériane, qui s’appuie aussi sur de puissants lobbies et réseaux d’influence.
Au début de juin, le Midem a réuni les professionnels de l’industrie musicale à Cannes, dans le massif Palais des festivals, posé face à la Méditerranée. C’est là, parfois dans les couloirs et sur la plage de la Croisette, que s’est joué le futur d’artistes et de labels, et que se sont étoffés des carnets d’adresses…
Pourtant, cette année, peu de délégations africaines avaient fait le déplacement : le Kenya, l’Afrique du Sud et le « bassin du Congo » (dont les représentants sont longtemps restés invisibles). À côté de ces pavillons étatiques, un stand ne désemplissait pas : celui de l’afrobeats, à tel point qu’il a fallu prendre rendez-vous tôt le lendemain pour pouvoir parler avec un des responsables, Nosa Dag Aghayere.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: