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« Nou pena okenn konprime pou enn viktim viol ». C’est qu’a soutenu le gynécologue Monaff Khedarrun, porte-parole de l’association Child Protect, en conférence de presse ce lundi 3 août. Dans son plan de lutte contre les violences faites aux enfants, l’association plaide pour l’introduction de « la loi de Megan » dans le Children’s Bill.
Cette loi est un registre qui permet de savoir en quelques clics sur un site web qui sont les auteurs d’infractions. Ce site compilersit des informations concernant l’identité d’auteurs de certaines infractions à caractère sexuel. « Pour ainsi avertir le public où se situe le danger, afin que les parents puissent protéger leurs enfants. Il faut que la société sache, il ne faut pas cacher ces délinquants sexuels« , scande le docteur.
Réagissant au cas d’agression sexuelle sur une fillette de 3 ans à Cité Anoska en juillet, Dr Monaff Khedarrun, tire la sonnette sur le nombre de cas alarmants souvent commis dans le cadre familial, et rappelle l’importance de durcir nos lois. D’où la demande pour la mise sur pied de cette loi à Maurice.
L’association Child Protect plaide également pour des sentences plus longues en ce qu’il s’agit de délinquance sexuelle et lance un appel au gouvernement : « Ou pa kapav inn viol enn zenfan, ek ferm zis trwa-z-an apre resorti ».
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