Cette photo puissante d’une survivante du cancer qui allaite son fils après une mastectomie fait le tour de la toile

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Les joies de la maternité sont un sentiment que beaucoup de femmes dans le monde ont hâte de pouvoir vivre. Elles font alors tout ce qui est en leur pouvoir pour que cela se passe dans les meilleures conditions et que leur bébé ait à sa disposition tout ce dont il pourrait avoir besoin. Néanmoins, certains obstacles peuvent se dresser sur leur route, comme le démontre l’histoire poignante de Bo Smith, relayée par le magazine People.

le cancer du sein: ce qu’il faut savoir

En règle générale, on désigne comme « cancer » toute apparition et reproduction de cellules déréglées dans une partie du corps. Sachant que dans le cas d’une personne atteinte d’un cancer du sein, les cellules malsaines affectent la glande mamaire, qui contient essentiellement des lobules et des canaux responsables de la production de lait pendant l’allaitement.

Ce qu’il y a d’important à savoir au sujet de ce cancer, c’est qu’il est de loin le plus fréquent chez les femmes, indépendemment de leur âge. Il touche 1 femme sur 8, même si dans environ trois quart des cas, il ne se manifeste qu’après l’âge de 50 ans. A savoir qu’il existe un dépistage gratuit offert tous les deux ans aux Françaises âgées de 50 à 74 ans afin d’augmenter le taux de survie et de guérison. En effet, ce dernier est aujourd’hui estimé à environ 87%, un chiffre encourageant qui reflète à quel point les progrès réalisés en termes de dépistage et de traitement peuvent porter leurs fruits.

Quant aux hommes, bien qu’ils ne représentent que 1% de l’ensemble des diagnostics de cancer du sein à travers le monde, il n’en demeure pas moins qu’ils peuvent en être atteints !

Une maladie qui allait détruire tout espoir de maternité

L’histoire de Bo Smith se déroule à Sugarland, dans l’état américain du Texas et tout comme chaque femme désireuse d’être maman, elle espérait pouvoir un jour mettre au monde un bébé, s’en occuper et le voir grandir. Mais la vie de l’américaine de 32 ans sera bouleversée lorsqu’elle apprend en février 2015 qu’elle était atteinte d’une forme rare et agressive de cancer du sein qui se manifeste sous forme d’inflammation et qu’elle avait pu remarquer par la présence d’une masse inhabituelle au niveau de son sein gauche.

S’en est suivie alors une série de cycles de chimiothérapie, 16 au total, ainsi que 6 traitements médicamenteux, une mastectomie dont le but était de faire une ablation du sein touché par le cancer, et pour finir, 44 séances de radiothérapie.

Elle a même déclaré dans son interview, “j’étais terrifiée à l’idée que le cancer se propage au sein droit, mais je voulais absolument pouvoir allaiter mon bébé si je tombais enceinte”.

Elle voulait vraiment être mère

L’année d’après, plus exactement en février 2016, Bo a appris grâce aux médecins qu’elle était en rémission mais qu’elle devrait malgré cela patienter environ deux ans avant de tenter quoi que ce soit pour avoir un enfant. Ils lui ont également recommandé de recourir à la fécondation in vitro, plutôt que par les voies naturelles, un conseil qui ne l’a pas dissuadée de choisir la deuxième option.

survivante du cancer qui allaite son fils

Et au plus grand étonnement de tous, il n’aura fallu atteindre que deux mois pour qu’elle tombe enceinte, elle dit en se remémorant ce moment qu’elle était sous le choc en ajoutant, « lorsque j’ai été diagnostiquée d’un cancer, je me suis dit que je ne pourrai jamais être mère”.

Le petit James est venu au monde le 18 août 2018, sa mère n’a d’ailleurs pas manqué de déclarer sur Facebook à quel point cela lui procurait de la joie de pouvoir allaiter son fils chaque jour. Elle dit qu’il arrive encore souvent d’avoir du mal à réaliser le fait qu’elle nourrit au sein son propre bébé, celui qu’elle a conçu.

L’histoire de cette courageuse femme qui ne s’attendait pas à pouvoir être mère et encore moins à allaiter montre que l’espoir devrait toujours avoir une place dans nos vies et que malgré la difficulté des épreuves, il faut savoir tenir bon car la lumière au bout du tunnel n’est jamais très loin.



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