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Fin décembre, avant que le dernier round des pourparlers de paix ne démarrent à Khartoum, Nourreddine Adam, chef du groupe armé du Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC), a adressé une lettre au président français pour lui demander de s’impliquer en tant que « médiateur ».
Avant de se rendre à Khartoum (Soudan), où se sont ouverts le 24 janvier des pourparlers de paix sur la Centrafrique qui ont débouché, samedi 2 février, sur un accord dont le contenu n’est pas encore connu, Noureddine Adam, qui n’y participe pas directement mais se fait représenter par Abakar Sabon, le porte-parole du FPRC (principal groupe armé centrafricain), avait écrit à Emmanuel Macron (voir document ci-dessous).
>>> À LIRE – Centrafrique – Noureddine Adam : « C’est bien que la Russie fasse ce que la France ne fait plus »
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