Cacao, coton, cajou…. L’Afrique de l’Ouest vent debout contre sa marginalisation – Jeune Afrique

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À Zogbodomey,
au Bénin, l’usine de décorticage d’anacarde de Fludor, filiale locale du holding nigérian Tropical General Investment (TGI).

À Zogbodomey,
au Bénin, l’usine de décorticage d’anacarde de Fludor, filiale locale du holding nigérian Tropical General Investment (TGI). © Jacques Torregano pour JA

Producteurs mondiaux de premier plan dans ces filières, États et professionnels doivent fédérer leurs efforts pour peser vraiment, enfin, sur les cours du marché.


La Cedeao se développe, mais pas assez vite pour réduire la pauvreté de la population ouest-africaine. S’il est vrai que l’or, le coton, le cacao ou l’uranium constituent de belles opportunités pour ces pays en mal de recettes et d’emplois, cela reste toutefois insuffisant en raison du rythme élevé de la croissance démographique, selon le rapport « Dynamiques du développement en Afrique. Réussir la transformation productive », publié en 2019 par l’Union africaine et le Centre de développement de l’OCDE.

En dépit des efforts déployés pour tirer le meilleur parti de ces atouts, « la transformation productive de la région reste limitée », peut-on y lire. Le secteur industriel de l’Afrique de l’Ouest ne progresse pas. La part de l’agriculture y a reculé de 3,1 points de pourcentage au cours des dix dernières années, alors qu’elle a progressé dans les autres régions du continent.



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JeuneAfrique

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