Brexit: pour les patrons européens, le “no deal” serait un “désastre”

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(FILES) In this file photo taken on June 28, 2016 a man waves both a Union flag and a European Union flag together on College Green outside The Houses of Parliament at an anti-Brexit protest in central London. – Preparedness in Britain for a no-deal Brexit remains “at a low level”, with logjams at Channel ports threatening to impact drug and food supplies, according to government assessments released September 11, 2019. British MPs voted last week to force the government to publish the no-deal “Operation Yellowhammer” document, which also warns of “public disorder” in such a scenario. Britain’s plan for no checks at the Irish border would likely “prove unsustainable due to significant economic, legal and biosecurity risks”, it said, adding that it could lead to a black market developing in border communities, with dissident groups expected to capitalise. (Photo by JUSTIN TALLIS / AFP)

Un départ du Royaume-Uni sans accord avec l’Union européenne serait « un désastre », a prévenu lundi l’organisation patronale européenne, Business Europe, qui appelle les deux parties à « déployer tous les efforts raisonnables » pour s’entendre.

« Le +no deal+ est la recette du désastre et doit être définitivement écarté », estime Markus J. Beyrer, directeur général de Business Europe, dans un communiqué.

« Une sortie désordonnée et sans accord du Royaume-Uni serait extrêmement néfaste pour toutes les parties » et « causerait d’importants dommages chez les citoyens et les entreprises au Royaume-Uni et sur le continent », a-t-il ajouté.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson rencontre lundi à Luxembourg le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et le négociateur en chef de l’UE, Michel Barnier, pour faire avancer les discussions à seulement un mois et demi du départ prévu du Royaume-Uni, le 31 octobre.

« Nous exhortons les deux parties à déployer tous les efforts raisonnables et à engager un dialogue constructif », insiste M. Beyrer dans son communiqué, considérant un accord comme « une nécessité absolue ».

Il estime que l’option d’un nouveau report du Brexit, « loin d’être idéale », « devrait être considérée (…) si elle est limitée dans le temps et si le Royaume-Uni offre une voie claire vers un accord ».

Boris Johnson est cependant déterminé à ce que le Royaume-Uni quitte l’UE le 31 octobre, avec ou sans accord.

Il s’est dit vendredi « prudemment optimiste » avant sa rencontre avec M. Juncker, la première depuis son arrivée au pouvoir fin juillet.

Un sommet européen doit se tenir les 17 et 18 octobre à Bruxelles, ce qui pourrait être la dernière chance d’un accord entre les deux parties.

zap/csg/lch

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Le Mauricien

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