Biden versus Sanders, c’est peut-être un détail pour vous…

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AFP

Doigt au but

Concours de fausses moustaches ? Partie de Jacques a dit à la maison de retraite ? En ce 14 janvier, Joe Biden et Bernie Sanders prennent part au dernier débat des primaires démocrates et, d’un geste de main hésitant, tentent de capter l’attention du présentateur, accaparé par les quatre autres candidats sur le plateau. Rassurez-vous, ils finiront par y arriver. Et par se faire entendre. À l’heure actuelle, les deux hommes sont même en tête dans les sondages, mais l’ordre varie selon les instituts.

Fais ce que cheveux

Depuis quelques années, et pour des raisons évidentes, la question capillaire est devenue majeure dans la politique américaine. Ainsi, la chevelure de Joe Biden a fait l’objet de spéculations indiquant, de sources médicales expertes, que cette densité n’est pas naturelle pour un homme de 77 ans et que plusieurs opérations ont dû être nécessaires pour remplumer son crâne. Ce qui n’est pas un problème dans l’absolu. Mais en devient un quand on prétend que l’âge n’a pas de prise sur soi. Et accessoirement que l’on se pose en candidat de la rupture post-Trump.

Mister pin’s

L’ex-vice-président de Barack Obama porte sur le revers de sa veste un pin’s à l’effigie du drapeau américain. Parce qu’il adore les pin’s ? Parce qu’il aime son pays ? Ou parce que la tradition du drapeau à la boutonnière, instaurée par Richard Nixon, lors de la campagne présidentielle de 1972, sur une idée piquée au candidat Robert Redford dans le film Votez McKay (The Candidate), est devenue si forte qu’il est désormais suspect de ne pas en porter ? Vous connaissez la réponse. D’ailleurs, vous aussi, vous adorez certainement les pin’s.

L’étoile rouge

Bernie Sanders ne porte pas de drapeau à la boutonnière et, devinez quoi, ce choix est justement sujet à de fréquents questionnements. L’élu du Vermont lui préfère un pin’s doré qui a tour à tour été interprété comme un signe maçonnique, illuminati ou, pire, comme une breloque signant son appartenance à la terrible secte dite « socialiste ». La vérité ? Bernie Sanders porte l’épinglette reçue par chaque sénateur à son entrée au Congrès et qui lui permet de circuler sur place, à Washington, sans devoir justifier en permanence ses fonctions.

La french touch

Aux côtés du logo iconique de CNN, trois mots : « Des Moines Register », soit le nom du journal ­coanimateur du débat, organisé dans la ville de Des Moines, située dans l’Iowa. L’occasion de vous apprendre – sans doute – que la ville de Des Moines, 217 000 habitants, capitale de son État, doit son nom francophone à un groupe de trappistes français installé sur place au XVIIIe siècle. Cocorico ! Mais espérons que l’ingérence de la France dans l’élection américaine s’arrêtera là. On ne voudrait pas d’ennuis.

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