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Le nouveau code pétrolier gabonais entre en vigueur : il se veut plus attractif pour les entreprises avec, en contrepartie, moins de bénéfices pour l’État. Mais, alors que le pays souhaite recouvrer des rentes pétrolières similaires à celles d’avant la crise de 2014-2015, les opérateurs restent pour le moment réservés.
« On peut dire que l’on a fait de gros efforts pour attirer les investisseurs », lance un expert pétrolier au ministère gabonais des Hydrocarbures, joint par Jeune Afrique. « Le nouveau code des hydrocarbures est un effort très positif du gouvernement gabonais pour promouvoir les investissements pétroliers et gaziers dans le pays », renchérit David DesAutels, dirigeant de l’entreprise américaine Vaalco.
Signé par le président Ali Bongo Ondimba le 16 juillet, après un passage à l’Assemblée nationale puis au Sénat fin juin, le nouveau code a baissé une grande partie des taxes et participations de l’État dans le secteur de l’or noir et du gaz.
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