Au Moyen-Orient, « les populations se sentent mises de côté depuis trop longtemps » – JeuneAfrique.com

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Constatant le discrédit des organisations internationales et leur incapacité à résoudre les crises, en particulier au Moyen-Orient, Salman Shaikh, tente de faire émerger, à travers son groupe Shaikh, un nouveau modèle de dialogue pour que les populations des pays en crise puissent construire elles-mêmes une paix durable. Interview.


Les pays en crise, les guerres civiles, les négociations internationales… Salman Shaikh connaît tout cela par cœur. Avant de fonder son groupe visant à redynamiser les capacités à maintenir la paix au Moyen-Orient et en Afrique, il a mené la majeure partie de sa carrière au sein de l’ONU, où il a longtemps conseillé le sous-secrétaire général aux affaires politiques sur les dossiers moyen-orientaux, avant d’assister Geir Pedersen, l’émissaire spécial des Nations unies eu Liban lors de la guerre de 2006.

Dans cette région troublée, il a développé une expertise de terrain sur les processus de paix. Et a pu constater de lui-même l’échec des pratiques classiques en la matière. Rencontre avec Jeune Afrique à l’occasion du Forum de Paris sur la Paix, où il est venu présenter son initiative d’une « Peacetech League », selon une approche inédite des négociations de paix.

Jeune Afrique : La mission en Syrie de Staffan de Mistura, dont la démission a été annoncée en octobre 2018, prendra fin prochainement. Sans beaucoup de résultats. Pourquoi les missions de paix traditionnelles ne fonctionnent-elles plus dans le monde arabe ?



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JeuneAfrique

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