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Les autorités marocaines ont annoncé le démantèlement, lundi 2 mars, à Sidi Slimane (ouest), d’une cellule composée de quatre « partisans » du groupe Etat islamique (EI), « porteurs de projets terroristes dans le royaume ». Les suspects, âgés de 23 ans à 51 ans, avaient « planifié ensemble de commettre des actes terroristes visant à porter gravement atteinte à la sécurité des citoyens et à déstabiliser l’ordre public », souligne le ministère de l’intérieur dans un communiqué.
L’opération, menée par le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ, antiterrorisme), a permis « la saisie d’appareils électroniques, d’armes blanches de gros calibre, d’un treillis militaire et de plusieurs manuscrits prouvant l’adhésion des suspects à la pensée de “Daech” », acronyme arabe de l’EI, selon le communiqué.
Moyens importants
Epargné ces dernières années par les violences liées aux groupes jihadistes, le Maroc a cependant été le théâtre, fin 2018, d’une attaque contre deux touristes scandinaves, décapitées au nom de l’EI dans les montagnes du Haut-Atlas (sud). Les auteurs ont été condamnés à la peine de mort, non appliquée au Maroc depuis 1993.
Les autorités mettent souvent en avant les moyens importants déployés pour la lutte antiterroriste. En 2019, 79 personnes ont été arrêtées dans ce pays pour des affaires de « terrorisme », selon un bilan officiel.
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