après l’éviction de Veolia, la peur du vide – JeuneAfrique.com

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Site de la SEEG (filiale de Veolia réquisitionnée par l’État gabonais) au barrage de Tchimbele (Gabon), le 12 juillet 2014 © Photothèque Veolia/Christophe Majani d’Inguimbert


L’État du Gabon et le numéro un mondial de l’eau, Veolia, ont mis fin, le 18 février à Paris, à une année de conflit ouvert en signant un accord de rachat des 51 % des parts détenues depuis 1997 par la multinationale française dans la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG). Mais l’État doit encore trouver un concessionnaire et établir un programme d’investissements.


Les parties renoncent ainsi « de façon définitive et irrévocable à toutes prétentions entre elles et notamment à la procédure pendante devant le Cirdi » nous a confirmé le nouveau ministre de l’Eau et de l’Énergie du Gabon (nommé le 12 janvier 2019), précédemment directeur général adjoint de la SEEG, Tony Ondo Mba.

Si l’accord de principe avait été finalisé le 15 février, la dernière signature, celle du représentant légal de Veolia, n’a été apposée que trois jours plus tard à Paris. D’après nos informations, le montant de la transaction, non divulgué, tournerait autour de 45 millions d’euros.

Jeune Afrique avait annoncé cette issue dès le début du mois de janvier, les contours de cet accord ayant été définis dès la fin du mois de novembre 2018 entre l’ancien directeur Afrique de Veolia, Patrice Fonlladosa, et Brice Laccruche Alihanga, directeur de cabinet du président Ali Bongo.

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