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Plusieurs mois après le rapprochement entre l’Érythrée et l’Éthiopie, permettant d’atténuer les conflits dans la Corne de l’Afrique, le chef de la diplomatie djiboutienne n’a toujours pas été reçu en Érythrée, où il avait pourtant été convié.
La Corne de l’Afrique a connu un intense ballet diplomatique à la fin de 2018. Aussi soudain qu’inattendu, l’accord signé en juillet entre les frères ennemis d’Asmara et d’Addis-Abeba, après trois décennies de conflits, a fait souffler « un vent de paix sur la région », selon l’expression d’Issayas Afeworki, le président érythréen.
Les visites se sont alors succédé entre responsables éthiopiens, érythréens et somaliens. Puis djiboutiens. Inquiète d’être exclue des négociations, la petite république a vite été rassurée quand, au début de septembre, elle a vu atterrir à Ambouli le ministre érythréen des Affaires étrangères. Les deux États, également divisés sur des questions frontalières, n’avaient pas échangé de visite depuis dix ans.
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