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Mis en cause dans l’affaire du financement libyen de la campagne présidentielle française de 2007, l’homme d’affaires franco-algérien, proche de Nicolas Sarkozy, se défend pied à pied. Et se dévoile…
« Je ne suis ni condamné ni même poursuivi, il n’y a rien : ni témoin à charge ni saisie de quoi que ce soit lors des perquisitions faites à mon domicile et à mon bureau. On m’accuse d’être en fuite, mais sérieusement, que suis-je censé fuir ? J’aurais quitté la Suisse pour me réfugier à Londres ? C’est une histoire de fou ! »
Alexandre Djouhri, 60 ans, en plaisanterait presque tant la situation qu’il décrit lui paraît ubuesque. Il a pourtant vécu un calvaire : deux incarcérations dans des conditions très sévères, plusieurs attaques cardiaques en prison qui lui laissent des séquelles à vie, un exil forcé à Londres, où il doit pointer chaque après-midi au commissariat de son quartier en attendant qu’on statue sur son sort.
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