Agression alléguée: la directrice de «La Rose de Damas» contre-attaque

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La chef marocaine Amina El Ouali allègue avoir été agressée par son ancienne patronne, Hasnaa Currimjee.

La chef marocaine Amina El Ouali allègue avoir été agressée par son ancienne patronne, Hasnaa Currimjee.

«Le 23 juillet, je n’ai jamais agressé la chef marocaine Amina El Ouali. Je n’ai pas renversé de table sur elle. Le travail de la chef ne correspondait pas à mes attentes, je l’en ai informée. Le personnel de mon restaurant n’en pouvait plus avec son fort caractère. Aussi, les recettes réalisées n’étaient pas à la hauteur. Elle l’a mal pris car elle voulait rester à Maurice et y ramener ses quatre enfants», explique Hasnaa Currimjee, directrice du restaurant «La Rose de Damas», que nous avons contactée hier, lundi 5 août. Elle prend ainsi son ex-employée à contre-pied, car cette dernière avait porté plainte à la police, le 25 juillet, pour agression, en accusant la directrice du restaurant.

Refus d’obtempérer

Hasnaa Currimjee ajoute qu’elle a porté plainte à la police de Flic-en-Flac, le 23 juillet, quand elle s’est rendue à l’appartement occupé par la chef de cuisine, pour lui dire qu’elle ne voulait plus de ses services. «J’étais en compagnie d’une de mes employées et de ma fille de trois ans. La dame a commencé à me dire qu’elle portera plainte à la police pour agression. La table dont elle parle, ce n’est qu’une petite table du milieu en rotin, que je n’ai pas renversée sur elle. Elle a fait une mise en scène. Je ne suis pas restée longtemps car je ne voulais pas que ma fille soit traumatisée par les cris et les délires de cette personne.»

La patronne du restaurant aurait demandé à la police de faire partir la Marocaine de son appartement mais la femme a refusé d’obtempérer. «La police m’a dit que ce n’était pas possible de la faire partir car j’ai spécifié dans ma lettre que je l’hébergerai jusqu’au 8 août. Pendant que j’étais au poste de police, elle m’envoyait des messages audio et une photo pour me dire qu’elle ferait une déposition contre moi à la police, en disant que je l’avais agressée. Elle m’a envoyé une photo d’elle, avec le pied enveloppé dans des bandages. Si vraiment je l’avais agressée dans la soirée du 23 juillet, elle aurait dû porter plainte le même jour. Pourquoi attendre le 25 juillet, soit deux jours plus tard, pour le faire ? Elle aurait dû se rendre à l’hôpital le même jour mais elle ne l’a pas fait.»

Hasnaa Currimjee allègue que la plaignante voulait lui soutirer de l’argent. «Le 24 juillet, je me suis rendue au Passport and Immigration Office pour déclarer que je ne suis pas responsable d’elle, ni financièrement ni légalement, et que je voulais qu’elle reparte le plus vite. Je paie son billet de retour. Toutefois, elle avait un business visa pour 58 jours, jusqu’au 8 août, pour un essai. Il faut aussi dire que j’ai été surprise de recevoir un appel, le 22 juillet, d’un officier du ministère du Travail, qui me demandait de payer le salaire de la chef.»


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Lexpress

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