[ad_1]
Arrivé au pouvoir il y a presque un an, le Premier ministre a entrepris de transformer l’ancien régime autoritaire et marxisant en démocratie libérale. Portrait d’un homme pressé, déterminé à laisser une trace dans l’Histoire.
C’était à la fin des années 2000. Chaque matin, Abiy Ahmed enchaînait pompes, abdominaux et séances de course à pied sur les tapis roulants du Body Wise, un club de gym encastré dans le sous-sol d’une tour en béton d’Addis-Abeba. Fougueux trentenaire, il venait de cofonder un tout nouveau service de renseignement, l’Agence de sécurité des réseaux d’information (INSA). Il le répétait à qui voulait l’entendre, même si personne ne le prenait tout à fait au sérieux : un jour, il deviendrait Premier ministre.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: