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Des ponts, des arènes sportives, des centrales solaires, des centaines de kilomètres de bitume… Les grands projets inscrits au Plan Sénégal émergent (PSE) ont transformé le Sénégal. Mais certains pointent les risques d’endettement, la faible part prises par les entreprises sénégalaises dans les chantiers, et questionnent la réalité des retombées pour les populations.
« Le Sénégal joue les seconds couteaux dans des programmes à forte vocation patriotique censés œuvrer à son développement. Le PSE n’offre aux entreprises locales que des emplois de main-d’œuvre, des emplois éphémères. On ne peut pas se contenter de ça ! » L’état des lieux cinglant de Mamadou Diouf, coordinateur du Forum social sénégalais, porte les doléances de toute une frange du patronat sénégalais. Face à une kyrielle de projets d’infrastructures confiés à des partenaires étrangers, les entreprises nationales peinent en effet à trouver leur compte au sein de l’ambitieux Plan Sénégal émergent (PSE), lancé en 2014 avec l’échéance de 2035 dans le viseur.
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