à Jerada, l’accalmie sociale ne tiendra que si les projets affluent – JeuneAfrique.com

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La cité minière a été le théâtre d’une contestation populaire en 2018. © FADEL SENNA/AFP


Le mouvement social qui a secoué la cité minière de Jerada, dans l’est du Maroc, a poussé l’État a remettre cette région au centre des préoccupations, de peur de voir naître un écho au Hirak du Rif. Mais la trêve sociale ne sera durable que si les projets industriels continuent d’affluer.


Des mineurs clandestins ensevelis dans des mines de charbon désaffectées et des protestations populaires qui tournent à l’affrontement avec les autorités… C’est ainsi que naît, en 2018, le Hirak [soulèvement] de Jerada.

La cité minière de l’Oriental devient dès lors une préoccupation pour l’État central, qui redoute un remake du Hirak du Rif ; 900 millions de dirhams (82,7 millions d’euros) sont affectés au développement de la région et devraient permettre la création de 3 600 emplois.

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