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Un conseil d’administration renforcé, des comités sectoriels… L’arrivée d’Hassan Ouriagli à la tête du holding royal marocain a été accompagnée d’une refonte du système de gouvernance.
« Il n’y a plus de président omnipotent qui prend seul toutes les décisions et s’immisce dans la gestion quotidienne des filiales. » Les propos émanent d’un connaisseur du groupe royal et font clairement allusion à l’ancien président Hassan Bouhemou, débarqué de la tête de la SNI en 2014.
L’arrivée de son successeur a été accompagnée d’une refonte du système de gouvernance, qui a notamment consisté à doter le holding, comme c’est le cas pour ses principales filiales, de nombreux comités (RSE, stratégique, investissement, audit, rémunérations).
Rupture importante en matière d’image
Mieux encore, le conseil d’administration a été renforcé par l’arrivée d’administrateurs indépendants réputés dans le monde des affaires. Ainsi, aux côtés de Mounir Majidi, secrétaire particulier du roi, siègent désormais des personnalités comme Daniel Bouton ou Jean Peyrelevade, anciens patrons
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