[ad_1]
Avec « Une urgence ordinaire », le réalisateur Mohcine Besri ausculte la société marocaine dans le cadre d’un huis clos hospitalier.
Comme le dit Mohcine Besri, qui représentait le Maroc au 17e Festival international du film de Marrakech : « Il existe deux façons de dresser le bilan d’une société : observer une école publique ou un hôpital. » C’est pourquoi, de la première minute à la quatre-vingt-cinquième d’Une urgence ordinaire, le réalisateur suisso-marocain ne sort jamais d’un huis clos. Il l’avait déjà fait pour son deuxième long-métrage, Les Mécréants, qui lui avait permis d’être récompensé au Cairo International Film Festival en 2012.
Cet article est réservé aux abonnés
Abonnez-vous à partir de 7,99€pour accéder à tous les articles en illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous ›
Vos avantages abonné
- 1. Accèdez en illimité à l’ensemble des articles sur le site et l’application Jeuneafrique.com (iOs & Android)
- 2. Bénéficiez en avant première, 24 heures avant leur parution, de chaque numéro et hors séries Jeune Afrique sur l’application Jeune Afrique Le Magazine (iOS & Android)
- 3. Recevez la newsletter économie quotidienne réservée aux abonnés
- 4. Profitez de 2 ans d’archives de Jeune Afrique en édition numérique
- 5. Abonnement sans engagement de durée avec l’offre mensuelle tacitement renouvelable*
*Service uniquement disponible pour les abonnements à durée libre.
[ad_2]
Source link
Have something to say? Leave a comment: