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Guterres, Kagame, Ramaphosa, Mogherini… Pendant son séjour à Addis-Abeba, le nouveau président congolais a enchaîné les rencontres bilatérales avec ceux qui doutaient de la transparence de son élection. De quoi amplement le rassurer : sa victoire ne devrait plus être contestée par la communauté internationale.
C’est l’histoire d’une revanche. Au siège de l’Union africaine (UA), le 17 janvier dernier à Addis-Abeba, neuf chefs d’État du continent s’étaient mis d’accord pour exprimer de « sérieux doutes » sur la transparence de l’élection de Félix Tshisekedi à la tête de la RDC.
Trois semaines et une investiture plus tard, le nouveau président de la RDC arrivait dans la capitale éthiopienne, à l’occasion du 32e sommet de l’UA organisé du 10 au 11 février, bien décidé à obtenir un blanc-seing de ses pairs.
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