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Depuis 2011, les études d’opinion font la pluie et le beau temps sur la scène politico-médiatique, devenant un élément clé du débat public. Mais leur fiabilité semble aujourd’hui sujette à caution.
« Les sondages, c’est pour que les gens sachent ce qu’ils pensent », jugeait l’humoriste français Coluche, résumant en un trait d’esprit tout le pouvoir de suggestion de ces baromètres de l’opinion. Plus qu’un instrument de mesure démocratique, le sondage aurait ainsi la faculté de valoriser ou de discréditer une candidature, faussant ainsi les termes du jeu électoral. Et la jeune démocratie tunisienne, dans la perspective de la séquence électorale à venir, s’adonne elle aussi aux délices de la bataille « des pour cent ».
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