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Accusée d’avoir participé à un « complot contre l’État » algérien, la secrétaire générale du Parti des travailleurs a été incarcérée le 9 mai. Dix choses à savoir sur celle qui dirige son parti depuis sa création, en juin 1990. Un record de longévité.
1. Audition
Convoquée comme « témoin » dans une affaire de « complot contre l’autorité de l’armée » et de « complot contre l’autorité de l’État » dans laquelle Saïd Bouteflika ainsi que les généraux Mediène et Tartag sont inculpés, elle a été entendue le 9 mai par un juge du tribunal militaire de Blida. Au terme d’une audition qui a duré cinq heures, elle a été placée sous mandat de dépôt sous d’autres chefs d’inculpation.
2. Démocratie
Il y a près de trente-six ans, le 15 décembre 1983, des agents de la redoutable sécurité militaire (SM) l’avaient arrêtée pour avoir distribué des tracts appelant à la fin du parti unique et à l’instauration de la démocratie. Elle avait alors passé six mois dans deux prisons du centre du pays.
3. Amie de Bouteflika
Avant 2014, elle était la seule opposante qu’Abdelaziz Bouteflika recevait et consultait, chez lui ou à son bureau. Proche de la famille
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