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Relativement épargné, le Niger n’est cependant pas à l’abri de la menace jihadiste, comme le prouvent les récentes attaques dans la région de Tillabéri.
Le 15 mai, au moins 28 soldats nigériens ont trouvé la mort dans une embuscade revendiquée par l’État islamique dans le grand Sahara, au sein de la région de Tillabéri. Là même où avait eu lieu, en octobre 2017, une attaque ayant coûté la vie à cinq militaires nigériens et à quatre soldats américains. Comme dans la zone du lac Tchad, le Niger reste donc vulnérable en ce qui concerne ses frontières, où les groupes jihadistes jouent des possibilités de repli au Mali ou au Nigeria.
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