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Chakib Khelil, qui fut ministre de l’Énergie de 1999 à 2010, a échappé in extremis à une interpellation.
La sécurité intérieure, qui a depuis appréhendé des hauts cadres de l’État, en avait reçu l’ordre en avril. Khelil aurait dû être mis aux arrêts dans le cadre de trois affaires de corruption présumées : Sonatrach 1, Sonatrach 2 et Brown & Root Condor, du nom de cette coentreprise algéro-américaine éclaboussée par un scandale de surfacturations et dissoute dans des conditions opaques en 2007.
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