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Votre petit déjeuner idéal
Je prends un thé vert japonais (sencha), un kiwi (ou autre fruit très vitaminé), et en fonction des activités de ma journée, du pain avec du beurre, parfois une viennoiserie, qui vont amener du sucre lent et vont me permettre de tenir.
Des pommes et des bananes – Source : spm
Votre aliment santé
La pomme et la banane : des aliments nutritifs, qui se digèrent facilement et lentement et peuvent donc être mangés seuls ou en apéritif.
Votre péché mignon
Le café. J’aime en boire après le déjeuner. Je considère que c’est un « péché » car le café apporte un état d’excitation momentané, qui génère un effondrement derrière et qui est acidifiant. Mais en boire de temps en temps, cela n’est pas problématique.
L’aliment venu d’ailleurs que vous préférez
Les algues wakamé. C’est un aliment d’une finesse gustative étonnante, riche, qui peut s’associer soit sous forme sèche, soit sous forme huileuse à la plupart des aliments.
De l’huile d’olive – Source : spm
Ce qu’il y a toujours dans vos placards
Deux ingrédients sont toujours présents dans mes placards : de l’huile d’olive de bonne qualité (un des lipides les plus intéressants, et gustativement parlant très agréable), et des graines de sésame au wasabi, exhausteur de goût formidable, que j’utilise comme condiment dans mes plats.
Ce que vous avez banni de vos placards
Les sucres rapides, un poison pour l’organisme.
Le remède que vous avez toujours sur vous
Les huiles essentielles et les granules d’homéopathie, comme l’arnica (pour faire face à la vie, en dilution basse pour les chocs physiques et en dilution haute pour les chocs psychiques et émotionnels).
Ce que vous avez banni de votre pharmacie
Tous les médicaments !
Le complément alimentaire essentiel
L’acérola, la composante de la vitamine C : c’est le meilleur boosteur des défenses immunitaires, j’en prends à l’entrée de l’hiver.
L’huile essentielle qui vous a sauvé la vie
L’huile essentielle de menthe poivrée : c’est un bronchodilatateur et mucolytique, qui m’aide beaucoup car j’ai tendance à être en apnée et donc à ne pas respirer suffisamment (ce qui entraîne une baisse de l’acuité de la conscience et de l’intelligence). La menthe poivrée permet d’ouvrir les voies respiratoires, de réexciter le mental et le psychisme. J’en mets une goutte sur un comprimé neutre ou sur un peu de sucre, que je mets dans ma bouche et mâche, puis j’inspire profondément : c’est vraiment réexaltant et réouvrant, c’est comme si on me mettait sous oxygène !
Une méthode de santé qui décoiffe
Le shiatsu : cette pratique « décoiffe » par son efficacité, sa puissance, et par les concepts sur lesquels elle s’appuie. J’ai découvert le shiatsu en pratiquant l’aïkido. Il travaille à la fois sur le corps (apporte bien-être, détente, aide à retrouver le sommeil, etc.) et sur les axes énergétiques (pression sur des points d’acupuncture et méridiens), ce qui va agir sur le plan psycho-émotionnel. Cette technique apaise le corps comme l’esprit.
Dormir paisiblement – Source : spm
Le secret de votre sommeil
Je ne m’endors jamais sur des tensions. Si on s’endort sur des tensions, le sommeil va les mémoriser et nous allons mal dormir. Si j’ai eu une journée stressante, compliquée, je vais faire des exercices de détente physique et psychique (douche, respiration, repasser sa journée dans son esprit, relaxation musculaire…) pour entrer de manière apaisée dans le sommeil.
Le secret de votre forme
Le respect et l’entretien de soi. Le désir de vivre, d’être, de faire, de se rencontrer soi et de rencontrer les autres. D’avoir la chance de faire ce que l’on aime : c’est un travail de toute une vie. C’est cela, selon moi, qui construit la vitalité et la longévité.
Un secret de cuisine
La simplicité. Être capable d’aller vers le goût de base du produit.
Votre bonne adresse
Le quartier de la rue Sainte-Anne, à Paris, entre le 1er et le 2e arrondissement : c’est le quartier japonais, on y trouve de vrais restaurants japonais, de la cuisine familiale, et des boutiques qui vendent des produits qui nous font voyager.
Votre devise
La devise qui m’accompagne toujours et que je transmets souvent à des patients en souffrance est une phrase d’André Gide : « Que chacun suive sa pente, pourvu que ce soit en montant. »
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