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Ici et là dans le monde arabo-musulman, la main invisible qui souhaite imposer son leadership est celle des Émirats arabes unis, activée en réalité par l’Arabie saoudite.
Chaque pays du Printemps arabe a en partie réglé la situation de déstabilisation qu’il a pu connaître en 2011. La Tunisie s’est stabilisée et a entamé sa transition démocratique : nouvelle Constitution, élections libres, vie politique active et élections à venir fin 2019. La Syrie, après des années de guerre, est revenue à un autoritarisme stable, avec le maintien de Bachar al-Assad au pouvoir et la défaite de Daesh.
L’Égypte a perdu tout le crédit de son incroyable révolution avec le putsch contre Mohamed Morsi et le maintien en poste du président haut gradé Abdel Fattah al-Sissi jusqu’en 2030 (au moins). Le Maroc, qui a entamé son processus de transition depuis l’intronisation de Mohammed VI il y a vingt ans, doit encore poursuivre sa modernisation démocratique face à la montée des périls sociaux.
Main invisible
Seuls restent l’Algérie, qui a entamé sa nouvelle révolution après so
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