pour Cyril Ramaphosa, le plus dur reste à faire – JeuneAfrique.com

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Si l’ANC a remporté les élections générales du 8 mai, son socle électoral s’effrite dangereusement. Le président Cyril Ramaphosa réussira-t-il à réformer son parti pour renverser la tendance ?

Cyril Ramaphosa doit-il y voir une sanction personnelle ou fait-il simplement les frais des dérives du parti antiapartheid, le Congrès national africain (ANC) ? Chahuté mais toujours debout, le parti qu’il dirige depuis décembre 2017 a pour la première fois vacillé, réalisant lors des élections générales du 8 mai le pire score de son histoire.

L’ANC conserve certes une large avance sur ses deux concurrents – ­l’Alliance démocratique (DA), de Mmusi Maimane, et les Combattants pour la liberté économique (EFF), de Julius Malema –, mais, avec environ 57 % des suffrages, il a perdu cinq points par rapport aux scrutins de 2014.



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JeuneAfrique

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